- Indications de dépistage (14)
- Modalités de dépistage : nominatif, non nominatif et anonyme (11)
-
Prélèvements et analyses (56)
- Prélèvements et analyses (56)
- Infection à Chlamydia trachomatis et infection gonococcique : généralités (9)
- Infection à Chlamydia trachomatis et infection gonococcique : sites extra-génitaux (10)
- Lymphogranulomatose vénérienne (5)
- Hépatites – causes d’immunosuppression (1)
- Hépatite B (4)
- Hépatite C (3)
- Infection par le VIH (4)
- Autotest du VIH (19)
- Renseignements à fournir au laboratoire (1)
- Fermer Retour
-
Traitement (19)
- Démarche pré et post-test et counseling (6)
- Rôle de l’infirmière (2)
- Charge virale et transmission sexuelle de l'infection par le VIH (9)
- Prescription infirmière (3)
- Maladies à déclaration obligatoire et signalement (9)
- Autres sujets (7)
Non, la fin de la période fenêtre est toujours trois mois après l’exposition car les anticorps sont alors présents et détectables chez 99 % des personnes infectées.
Toutefois, à la suite d’une exposition spécifique ou d’une situation à risque (p. ex. : relation anale non protégée par un condom avec une personne vivant avec le VIH), un dépistage du VIH pourra être réalisé au moment de la visite initiale et, si le résultat est négatif, être répété trois semaines après l’exposition si le laboratoire qui effectue les analyses de biologie médicale utilise un test de 4e génération (test qui permet de détecter les Anti-VIH et l’AgP24). Si le résultat du test réalisé trois semaines après l’exposition est négatif, le test sera répété à la fin de la période fenêtre (trois mois après l’exposition).
Sources :
- Guide québécois de dépistage des ITSS, 2019, section 8.2.7 L’infection par le VIH.
- Période fenêtre associée à la sérologie du VIH, Québec, Institut national de santé publique du Québec, 2015.