Sécurité

Indicateurs de vulnérabilité associés à la sécurité d'un territoire

Le besoin de produire un document sur les indicateurs de vulnérabilité associés à la sécurité d'un territoire s'est manifesté au cours de l'élaboration des guides et outils de la trousse diagnostique développée par l'Institut national de santé publique du Québec (INSPQ). Cette trousse est destinée aux collectivités locales désireuses d'effectuer un diagnostic de sécurité de leur territoire, comme le préconise la politique de prévention de la criminalité du ministère de la Sécurité publique : Pour des milieux de vie plus sécuritaires. Dans le développement de ces outils, plusieurs avenues ont été explorées pour s'assurer que le diagnostic prenne en compte l'ensemble des problèmes de sécurité touchant un territoire municipal ou les citoyens, soit la criminalité, les désordres et les incivilités, de même que le sentiment de sécurité de la population et les lacunes des services liés à la sécurité.

Or, prévenir les problèmes de sécurité signifie non seulement réduir…

Enquête de santé auprès des Inuits du Nunavik 2004 : portrait épidémiologique de la violence physique et des crimes contre les biens au Nunavik

Nombreux sont les membres de la communauté inuite à s’être montrés préoccupés par l’accroissement de la violence dans les maisons et les rues du Nunavik. Très peu de choses étaient jusqu’à présent connues au sujet de la prévalence des comportements violents au Nunavik. L’objectif de ce résumé est de fournir des données actuelles sur la violence physique au Nunavik, sur les caractéristiques des adultes qui en sont affectés et l’origine des agresseurs. Des données descriptives sur les crimes contre les biens sont aussi rapportées dans ce résumé.

Au cours de l’Enquête de santé auprès des Inuits du Nunavik menée à l’automne 2004, 969 personnes de plus de 15 ans ont répondu à un questionnaire sur la violence physique et la violence dans la communauté. Au total, 53 % des répondants, hommes et femmes confondus, ont rapporté avoir été victimes d’agression physique, et 46 % victimes de crimes contre les biens au cours de l’année précédant l’enquête. La probabilité d’être victime de v…

Centre collaborateur OMS du Québec pour la promotion de la sécurité et la prévention des traumatismes : rapport d'activités 2006

Le Centre est formé d’un ensemble d’institutions du réseau de la santé publique du Québec sous la coordination scientifique de l’Institut national de santé publique du Québec (INSPQ) qui, de part sa mission, établit des liens avec différentes organisations, à l'échelle canadienne et internationale, de manière à favoriser la coopération et l’échange de connaissances.

Le mandat du Centre collaborateur avec l’OMS a été renouvelé jusqu’en 2010. En conformité avec la mission et les objectifs du plan d’action et en continuité avec les activités de collaboration déjà entreprises, le Centre participera, dans la mesure de son expertise et de ses capacités, à la mise en oeuvre des différentes activités de la stratégie de l’OMS pour la prévention de la violence et des traumatismes non intentionnels.

Le Centre collaborateur espère jouer un rôle plus important dans le domaine de la prévention de la violence et aussi dans l’évaluation de l’effet et de l’impact que peuvent avoir le…

Centre collaborateur OMS pour la promotion de la sécurité et la prévention des traumatismes

Centre collaborateur OMS du Québec pour la promotion de la sécurité et la prévention des traumatismes - Rapport d'activités 2005

Le Centre collaborateur OMS du Québec pour la promotion de la sécurité et la prévention des traumatismes existe depuis 1995. Il est formé d'un ensemble d'institutions du réseau de la santé publique du Québec, soit de quatre directions régionales de santé publique (Montréal, Montérégie, Capitale-Nationale et Bas-Saint-Laurent) ainsi que de la Direction générale de la santé publique du ministère de la Santé et des Services sociaux et de l'Institut national de santé publique du Québec.

En vertu de leurs mandats respectifs, ces organismes mènent des activités de promotion de la sécurité et de prévention des traumatismes intentionnels et non intentionnels. Ces activités couvrent un ensemble de champs d'intervention, soit la promotion de la sécurité et la prévention des traumatismes en milieu urbain, dans les transports, à domicile, dans les loisirs et les sports, de même que la prévention de la violence et du suicide.

Centre collaborateur OMS pour la promotion de la sécurité et la prévention des traumatismes

Formation pour l'amélioration de la sécurité et la prévention de la criminalité à l'intention des collectivités locales

La sécurité est un besoin essentiel pour les collectivités. C’est pourquoi, depuis les dernières décennies, de nombreux efforts ont été réalisés pour prévenir et contrôler la criminalité et la violence, maintenir la paix ainsi que prévenir les accidents et les blessures.

À l’origine, ce sont les travaux du Comité intersectoriel sur la sécurité dans les milieux de vie, et plus particulièrement la production du document Sécurité dans les milieux de vie : Guide à l’intention des municipalités, qui ont incité les auteurs du présent ouvrage à pousser plus loin leur réflexion. En effet, si le Guide, diffusé en mai 1999 et réédité en 2002, se voulait une première initiation à la démarche d’amélioration de la sécurité, il était évident que son implantation dans les milieux de vie devait passer par une mise à l’épreuve des principes qui y étaient présentés. L’équipe de travail qui a développé le projet de Formation pour l’amélioration de la sécurité et…

Les diagnostics locaux de sécurité : une étude comparée, pour mieux comprendre et mieux agir

De nombreuses questions ont guidé la présente étude. Dans quelle mesure les sources utilisées et les indicateurs retenus sont-ils comparables d'un pays à l'autre? Observe-t-on des différences fondamentales dans l'approche méthodologique? Privilégie-t-on par exemple des études à dominante qualitative ou celles à dominante quantitative, ou les deux? Quels sont les choix méthodologiques et les techniques de recherche privilégiés? Qui mène ces études comparatives? Cette dernière question paraît d'autant plus importante quand on sait que l'orientation des recherches dépend parfois de l'organisme qui les réalise et de son rapport avec le système public, privé ou universitaire. Différentes traditions en matière de politique de prévention et de sécurité marquent-elles les diagnostics de leur empreinte? Cherche-t-on à établir dans ces diagnostics des «nbsp;facteurs de risquenbsp;» d'entrée dans la délinquance? De quelle façon se sert-on des partenariats existants pour les mener? Cherche-t-on…

La vitesse au volant : son impact sur la santé et des mesures pour y remédier - Synthèse des connaissances

Le non-respect de la vitesse est un phénomène généralisé et non seulement réservé à un petit groupe délinquant : entre 50 et 80 % des conducteurs québécois enfreignent les limites légales. Le problème sévit autant en ville que sur les routes rurales et sur les autoroutes. Parler de vitesse excessive ne fait pas seulement référence aux grands excès ou aux grandes vitesses qui sont plutôt marginaux. La majorité du problème est due à des dépassements de vitesse moins grands, mais beaucoup plus fréquents.

Or, malgré l'émission croissante de contraventions pour vitesse au Québec, la perception du risque d'être arrêté reste faible. Et pour un risque comparable, peu d'interventions systématiques et soutenues ont été implantées à ce jour pour contrer la vitesse, comme ce fut le cas pour l'alcool au volant.

Enjeux pour la santé

La littérature mondiale a amplement démontré le lien entre la vitesse des véhicules à moteur et le risque de collision et de…

Centre collaborateur OMS du Québec pour la promotion de la sécurité et la prévention des traumatismes : rapport d'activités 2003-2004

Le Centre collaborateur OMS du Québec pour la promotion de la sécurité et la prévention des traumatismes existe depuis 1995. Il est formé d’un ensemble d’institutions du réseau de la santé publique du Québec, soit quatre directions régionales de santé publique (Montréal, Montérégie, Capitale Nationale et Bas-Saint- Laurent) ainsi que de la Direction générale de la santé publique du ministère de la Santé et des Services sociaux du Québec et de l’Institut national de santé publique du Québec (voir annexe 1). En vertu de leur mandat respectif, ces organismes mènent des activités de promotion de la sécurité et de prévention des traumatismes intentionnels et non intentionnels. Ces activités couvrent un ensemble de champs d’intervention, soit la promotion de la sécurité et la prévention des traumatismes en milieu urbain, dans les transports, à domicile et dans les loisirs et les sports, de même que la prévention de la violence et du suicide.

En 2002, l’OMS adoptait un nouveau plan…

Centre collaborateur OMS pour la promotion de la sécurité et la prévention des traumatismes

Centre collaborateur OMS du Québec pour la promotion de la sécurité et la prévention des traumatismes - Rapport d'activités 1995-2001

Le Centre collaborateur OMS du Québec pour la promotion de la sécurité et la prévention des traumatismes est formé d'un ensemble d'institutions du Réseau de la santé publique du Québec, soit quatre directions régionales de santé publique (Montréal-Centre, Montérégie, Québec et Bas-St-Laurent) ainsi que de la Direction générale de la santé publique du ministère de la Santé et des Services sociaux du Québec et de l'Institut national de santé publique du Québec. En vertu de leur mandat respectif, ces organismes mènent des activités de promotion de la sécurité et de prévention des traumatismes intentionnels et non intentionnels.

Centre collaborateur OMS du Québec pour la promotion de la sécurité et la prévention des traumatismes - Rapport d'activités 2002-2003

Le Centre collaborateur OMS du Québec pour la promotion de la sécurité et la prévention des traumatismes est formé d'un ensemble d'institutions du Réseau de la santé publique du Québec, soit quatre directions régionales de santé publique (Montréal-Centre, Montérégie, Québec et Bas-St-Laurent) ainsi que de la Direction générale de la santé publique du ministère de la Santé et des Services sociaux du Québec et de l'Institut national de santé publique du Québec. En vertu de leur mandat respectif, ces organismes mènent des activités de promotion de la sécurité et de prévention des traumatismes intentionnels et non intentionnels.