La conseillère scientifique à l’INSPQ et autrice du rapport, Pascale Levesque, commente ainsi ces statistiques : « L’ensemble de ces constats renforce l’importance de poursuivre les efforts concertés en prévention du suicide, notamment grâce à la nouvelle Stratégie nationale de prévention du suicide lancée en mai 2022. Les disparités entre les sexes et les groupes d’âge révèlent également des besoins spécifiques. » Parmi les données préoccupantes, soulignons le recours aux services hospitaliers par les filles et les femmes de 10 à 34 ans, de même que le taux de suicide chez les hommes de 50 à 64 ans.