VIH / Sida

Programme de surveillance de l'infection par le virus de l'immunodéficience humaine (VIH) au Québec : cas cumulatifs 2002-2011

Le programme de surveillance de l'infection par le virus de l'immunodéficience humaine (VIH) au Québec a été mis en place en avril 2002. Il est basé sur la déclaration de l'infection par le Laboratoire de santé publique du Québec (LSPQ) et sur le recueil de renseignements épidémiologiques sur la personne infectée auprès du professionnel de la santé qui a prescrit le test de dépistage confirmé positif.

Le LSPQ effectue toutes les analyses de confirmation à l'échelle de la…

Rapport de surveillance

Programme de surveillance de l'infection par le virus de l'immunodéficience humaine (VIH) au Québec : mise à jour des données au 30 juin 2011

Le programme de surveillance de l'infection par le virus de l'immunodéficience humaine (VIH) au Québec a été mis en place en avril 2002. Il est basé sur la déclaration de l'infection par le Laboratoire de santé publique du Québec (LSPQ) et sur le recueil de renseignements épidémiologiques sur la personne infectée auprès du professionnel de la santé qui a prescrit le test de dépistage confirmé positif.

Le LSPQ effectue toutes les analyses de confirmation à l'échelle de la…

Rapport de surveillance

Mémoire déposé à la Cour suprême du Canada sur le risque de transmission du virus de l'immunodéficience humaine (VIH)

À la suite de sa demande déposée en décembre dernier, l'Institut national de santé publique du Québec (INSPQ) a obtenu l'aval de la Cour suprême pour déposer un mémoire dans le cadre des affaires Mabior et D.C, où le risque de transmission du virus de l'immunodéficience humaine (VIH) est au cœur du litige.

Dans ce mémoire, l'INSPQ présente le point de vue scientifique de l'organisation, l'évolution de la science quant au risque de transmission du virus et les impacts potentiels de la…

Mémoires

Optimiser le dépistage et le diagnostic de l'infection par le virus de l'immunodéficience humaine

Au Québec, comme dans d'autres pays ayant une épidémie concentrée (affectant particulièrement des populations vulnérables), l'infection par le virus de l'immunodéficience humaine (VIH) s'est propagée au sein de certaines populations sans s'être installée solidement dans la population générale. Elle touche particulièrement les hommes ayant des relations sexuelles avec d'autres hommes (HARSAH), les utilisateurs de drogues injectables (UDI) et les personnes originaires de pays où l'infection…

Avis scientifique

Le dépistage du VIH dans les points de service à l'aide de trousses de dépistage rapide

Les trousses de dépistage rapide du virus de l'immunodéficience humaine (VIH) sont des analyses de biologie délocalisées (ADBD) et leur utilisation au Québec est assujettie à plusieurs lois. Ces trousses peuvent être utilisées dans les points de service, c'est-à-dire dans tous les lieux « hors laboratoire » où il y a offre de services de santé et de dépistage du VIH, dans les secteurs publics ou privés1. Les trousses de dépistage rapide peuvent servir à…

Avis scientifique

Programme de surveillance de l'infection par le virus de l'immunodéficience humaine (VIH) au Québec : cas cumulatifs 2002-2010

Le programme de surveillance de l'infection par le virus de l'immunodéficience humaine (VIH) au Québec a été mis en place en avril 2002. Il est basé sur la déclaration de l'infection par le Laboratoire de santé publique du Québec (LSPQ) et sur le recueil de renseignements sur la personne infectée auprès du professionnel de la santé qui a prescrit le test de dépistage confirmé positif.

Le LSPQ effectue toutes les analyses de confirmation à l'échelle de la province. Pour tout test…

Rapport de surveillance

Surveillance des maladies infectieuses chez les utilisateurs de drogue par injection – Épidémiologie du VIH de 1995 à 2009 - Épidémiologie du VHC de 2003 à 2009

Les infections par le virus de l'immunodéficience humaine (VIH) et par le virus de l'hépatite C (VHC) chez les utilisateurs de drogues par injection représentent un important enjeu de santé publique au Québec.

Les données les plus récentes du réseau SurvUDI indiquent que la cocaïne demeure la drogue injectée par la plus grande proportion des participants, suivie par le Dilaudid, l'héroïne, la morphine, l'oxycodone et le crack/freebase. L'injection de certains opioïdes (…

Rapport de surveillance

Statistiques sur les services relatifs aux programmes de prévention du virus de l'immunodéficience humaine (VIH) et des hépatites B et C auprès des personnes utilisatrices de drogues par injection au Québec : avril 2008 à mars 2010

Mis en place au Québec à la fin des années 1980, le réseau des centres d’accès au matériel d’injection stérile (CAMI) est un regroupement d’organismes communautaires spécialisés dans la prévention des infections transmissibles sexuellement et par le sang (ITSS), particulièrement le VIH et les hépatites B et C, auprès des personnes utilisatrices de drogues par injection (UDI) ou avec des clientèles et des vocations multiples, d’établissements du réseau de la santé et des services sociaux…

Rapport de surveillance

Programme de surveillance de l'infection par le virus de l'immunodéficience humaine (VIH) au Québec : mise à jour des données au 30 juin 2010

Le programme de surveillance de l'infection par le virus de l'immunodéficience humaine (VIH) au Québec a été mis en place en avril 2002. Il est basé sur la déclaration de l'infection par le Laboratoire de santé publique du Québec (LSPQ) et sur le recueil de renseignements sur la personne infectée auprès du professionnel de la santé qui a prescrit le test de dépistage confirmé positif.

Les activités de collecte des données sont centralisées dans des locaux sécurisés du LSPQ. Ce…

Rapport de surveillance

Programme de surveillance de l'infection par le virus de l'immunodéficience humaine (VIH) au Québec : cas cumulatifs 2002-2009

Le programme de surveillance de l'infection par le virus de l'immunodéficience humaine (VIH) au Québec a été mis en place en avril 2002. Il est basé sur la déclaration de l'infection par le Laboratoire de santé publique du Québec (LSPQ) et sur le recueil de renseignements sur la personne infectée auprès du professionnel de la santé qui a prescrit le test de dépistage confirmé positif. Les activités de collecte des données sont centralisées dans des locaux sécurisés du LSPQ. Celui-ci…

Rapport de surveillance