Traitement et prise en charge

12 avril 2018

Traitement accéléré des partenaires pour les infections à Chlamydia trachomatis et à Neisseria gonorrhoeae

L’INSPQ vient de publier un avis scientifique sur le traitement accéléré des partenaires (TAP). Le TAP consiste à remettre à une personne atteinte de Chlamydia trachomatis (CT)  ou de Neisseiria gonorrhoeae (NG) une prescription de traitement dit épidémiologique, accompagnée d’information écrite. Les patients  remettent  le tout à leurs partenaires pour qu’ils soient traités sans nécessairement être vus par un médecin ou une infirmière.

23 mars 2018

Lignes directrices nationales de l’initiative canadienne de recherche en abus de substances (ICRAS) sur la Prise en Charge Clinique du Trouble Lié à l’Usage d’Opioïdes

Les lignes directrices nationales de l’ICRAS sur la Prise en Charge Clinique du Trouble Lié à l’Usage d’Opioïdes sont maintenant publiées. Onze recommandations y sont présentées (pièce jointe ci-dessous : Résumé en français des lignes directrices), abordant les différentes options de traitement de première et seconde ligne, les traitements complémentaires ou alternatifs, et les stratégies complémentaires

9 mars 2018

La prise en charge et le traitement des personnes infectées par le virus de l’hépatite C, Guide pour les professionnels de la santé du Québec – atelier gratuit de formation

Annoncé par le ministère de la Santé et des Services sociaux (MSSS), le document intitulé La prise en charge et le traitement des personnes infectées par le virus de l’hépatite C,  Guide pour les professionnels de la santé du Québec a été mis en ligne le 22 février dernier. Le communiqué du MSSS indique que ‘Ce guide vise l’optimisation du diagnostic, de la prise en charge et des soins offerts aux personnes infectées par le virus de l’hépatite C (VHC).

21 juillet 2016

Le Fibroscan® : un outil précieux pour la prise en charge des personnes infectées par le virus de l’hépatite C

Au Québec, 1 116 cas d’hépatite C ont été déclarés en 2014, ce nombre venant accroître le bassin de personnes infectées, estimé entre 40 et 70 000. Une fois le virus contracté, une fibrose hépatique va se développer, de gravité variable selon les individus. En l’absence de traitement, 10 à 40 % des sujets infectés progresseront vers une cirrhose du foie et son risque de complications.

15 juillet 2016

Actualités sur la prise en charge de l’hépatite C : des faits saillants éclairants

L’hépatite C représente un problème sanitaire pour lequel des actions concertées sont nécessaires afin de diminuer son impact sur la mortalité, sur la morbidité et sur sa transmission. Au Québec, 1 116 cas d'hépatite C sont déclarés en 2014. Parmi ceux-ci certains sont chroniques, d’autres sont aigus et ces derniers viennent augmenter le bassin de personnes infectées et appuyer l'importance de l'accès au traitement pour prévenir les complications hépatiques.

7 juin 2016

Lymphogranulomatose vénérienne : avis sur le dépistage, la prise en charge clinique et la surveillance au Québec

Avis du CALI et du CITSS

Selon le Portrait des ITSS au Québec - Année 2014 (et projections 2015), un total de 10 cas de lymphogranulomatose vénérienne (LGV) a été déclaré entre 1990 et 2004; 25 cas l’ont été en 2005 et 44 en 2006. Entre 2008 et 2012, une période d’accalmie a été observée, le nombre de cas fluctuant entre 2 (2009) et 13 (2011) par année, pour une moyenne de 9 cas annuellement. À partir du printemps 2013, le nombre de cas déclarés augmente, atteignant un total de 49 pour l’ensemble de l’année 2013. En 2014, un nombre record de 62 cas a été observé au Québec.